une agréable visite surprise.

« C’est bientôt l’heure des papa et maman les enfants. » Me voilà en fin de journée, j’allais pouvoir enfin me reposer me détendre de ma longue journée. Je l’avoue, aujourd’hui la journée avait été difficile, beaucoup de bavardage et peu de concentration. Mais je réussis à les calmer tout de même, ils étaient tous assit en face de moi, sur des bancs, on chanter deux trois comptines et je les questionnais un peu sur la journée, leurs demandant aussi quel jour c’est demain. C’était samedi le lendemain, j’essayais de les situés dans le temps, mais ceci n’est pas très facile pour certain. Je leurs explique donc qu’il avait deux jours avec les parents ou grand parent. Ce n’étais pas facile de dire avec qui ils allaient être, beaucoup d’enfant avait des parents divorcés, d’autre avait qu’une mère ou un père, ils avaient tous leurs histoires, malheureuses pour certains et d’autre joyeuse, ce que je souhaite à tous mes élèves, mais pas facile. Je me redresse par la suite après le récapitulatif de la journée, les rangeant devant moi, deux par deux, allant vers leurs portes manteaux, les habillant à l’aide d’une Atsem, puis je partis dans le hall d’entrer les faisant sortir chacun leurs tours dès que je voyais leurs proches. Une fois mes enfants partis, je retourne dans ma classe afin de ranger quelques affaires et ne pas laisser beaucoup de boulot aux dames de ménage. J’aimais leur facilité le travail, je savais certaine classe sale, donc plus je tenais correctement ma salle propre, moins elles auraient de boulot. Je m’assis ensuite sur la chaise de mon bureau, triant les travaux de mes petits, je corrigeai beaucoup de feuille pour entendre d’une voix familière qui me fit sursauter. « Je suis obligé de faire du charme à tes collègues pour qu’on m’ouvre ! » Je regardais la personne qui s’adresser à moi. « Harrison, tu m’as foutu une peur bleu, tu es malade, tu veux me voir mourir sur place ! » Dis-je lui lançant une peluche qui été à mes côtés. « Espèce de malade va ! » Je pose ma main sur ma poitrine afin de me calmer, je souris amusé, me redressant rangeant mes affaires, venant vers lui, embrassant sa joue, je pose ensuite mon regard sur lui. « Je te manque tant que ça pour que tu viennes me chercher ici ? »  Je souris amusé à mes paroles, rangeant alors mon travaille, lui disant. « On y va, tu tombes bien, je n’ai pas pris ma voiture ce matin ! » Je lui fis un clin d’œil, sortant de la classe, fermant la porte restant dans le couloir avec lui, mettant la bandoulière de mon sac sur mon épaule disant aux femmes de ménage. « Bon courage les filles. » Je regardais sa tenue lui disant. « Tu es tout beau habiller en costard, je n’ai pas souvent l’occasion de te voir dans cette tenue, je comprends pourquoi elles t’ont laissé entrer. » Je sortis par la porte arrière, le suivant quelques peu ne savant pas où se trouver son véhicule. « Es que tu peu juste me déposer au tabac ? J’ai promis à Jeremy d’aller lui prendre des bonbons pour demain. » Jeremy est mon petit frère, il était très gourmand et il allait passer le week-end avec moi, donc je voulais le gâter.

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une agréable visite surprise.

Voilà ma journée enfin terminé, je venais de rentre mes enfants à leurs parents, je retournais ensuite rapidement dans ma classe afin de corriger quelques petits travaux des enfants afin de m’avancer. Mais une voix familière me perturba, je sursautais reconnaissant rapidement Harrison, je lui lançais une peluche amusé, lui disant qu’il m’avait fichu une peur bleu. « Ce n’est pas toi qui a eu peur ! » Dis-je amusé, me redressant lui disant que je lui manquais tout en rangeant mes affaires. « Oui, désolé, c’est vrai que en ce moment je suis pas mal occupé, avec la rentrée des classes. Tu me pardonne ? » Je fis une petite moue toute mignonne pour me faire pardonner, je savais qu’il ne pouvait pas résister à ce petit visage d’ange. Je dis alors qu’il tombait à pic, je devais aller chercher quelque bonbon pour mon petit frère qui me les réclamer, j’allais donc lui apporter ce week-end. « Je n’avais pas envie de la prendre aujourd’hui, je n’habite pas loin je te rappel. » Je le complimentai, sur sa tenue sortant de l’école avec lui. Je passe mon bras sous le sien ajoutant. « Vous nous faites toutes craquer monsieur Hamilton. » Je me mis sur la pointe des pieds afin d’embrasser sa joue, écoutant sa proposition, je hausse les épaules. « Oui, c’est mieux, je te suis alors. »

On arrive rapidement dans sa voiture, je monte alors à ses côtés, je vais l’avouer, il m’avait tout de même manqué, je le regarde conduire ajoutant. « Alors tu as changé une vie d’une femme ? » Oui je savais que beaucoup de femme venait le voir pour changer de visage, de corps, il rendait heureuse beaucoup de femme. Je regarde la route croisant les jambes lui disant. « Tu manges à la maison ce soir ? Où on mange dehors ? Ou tu es occupé ? » Je voulais passer ma soirée avec lui, autant profiter de lui jusqu’au bout.